Thierry Dubrunfaut, artiste photographe – Atelier Paris & Bruxelles

Après  30 ans de carrière dans la photographie de mode (Vogue, Elle, Max, Officiel, Dior, Boucheron…), Thierry Dubrunfaut se consacre depuis 10 ans  à un travail artistique personnel.   Son travail colorimétrique ainsi que le côté abstrait de certaines photos, est une recherche et un résultat obtenu photographiquement et chimiquement (argentique) et non par l’intermédiaire de l’informatique.

Thierry Dubrunfaut est l’auteur de l’ouvrage « Port of Antwerpen » publié aux éditions Lanoo-Racine (2008) ainsi que du catalogue consacré à la photographie industrielle « Powerhouse ». (2012) . « Nude » livre d’art, dédié à la photographie de nus paraîtra dans le courant de l’année 2018 . 

La presse  en parle : Les échos – France Photographe – Drouot magazine – AD – Images magazine – Art&Métiers du livre – Le photographe – Réponse photo – Monochrome – Déclic Photo – Arte – Lire les articles

« Mes travaux englobent plusieurs domaines, notamment la photographie industrielle et architecturale, les matières, la « street- photographie » (photographie sociale), les nus.
Mes photos sont en première ligne un éloge à la beauté que j’éprouve pour les formes graphiques qui nous entourent, véhiculé par les tissues industrielles et architecturales. Un regard sur les structures imposantes en acier et en verre, des matières premières, des procédés technologiques, amplifié et transcendé par la magie du cadrage et de la superposition.
A travers l’objectif de la camera nous entamons un voyage. Il prend son départ dans le réalisme des sites de production ou des bâtiments et nous projette vers des scènes surréalistes, grâce à notre imagination. Comme par magie la beauté du monde se révèle autrement, insolite, plus surprenante encore…
Les lignes pures, les courbes et les couleurs m’inspirent comme une poésie, un hymne imagé à la splendeur technologique de notre ère.
L’autre volet de mon travail concerne la condition humaine à laquelle nulle ne peut rester indifférent : mettre la caméra au service des « sans-voix », de l’innommable et du réalisme social portés à notre conscience et dont les cadrages peuvent paradoxalement contenir un certain « aspect esthétique ». TD